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Introduction au Néolithique

Cours 5 : L’économie et les échanges au Néolithique I
L’économie agricole et animale

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Introduction au Néolithique

Cours 5 :

L’économie et les échanges au Néolithique I : L’économie agricole et animale

Nous avons maintenant deux cours pour nous intéresser à l’économie et aux échanges au Néolithique.

Nous allons donc commencer aujourd’hui avec quelques mots concernant l’économie néolithique, c'est-à-dire l’agriculture et l’élevage, l’économie de subsistance donc. Et, au prochain cours, nous nous intéresserons aux échanges.

En guise d’introduction, je voudrais vous rappeler l’importance du passage à l’économie de production. Car c’est crucial, et si vous ne retenez que quelques bribes de ce cours, parce que vous faites tout autre chose dans les prochaines années, c’est ça que vous devez retenir.

A notre époque, celle des fast food, des réfrigérateurs et des congélateurs, des boites de conserve et des sauces en tube, en bombe et lyophilisées pour aller dans la lune, nous n’avons que très peu conscience de l’importance de l’acquisition de la nourriture, si ce n’est en terme de travail et de salaire afin de pouvoir se procurer notre nourriture dans des magasins qui en regorgent jusqu’à pourrir sur place.
Cependant, pendant des millénaires et en fait jusqu’à l’explosion du mode de vie urbain dans le courant des deux derniers siècles, l’acquisition de la nourriture  a constitué l’une des activités les plus importantes et accaparantes pour l’homme, en terme de temps et d’énergie dépensés.

Dans le mode de vie des chasseurs-pêcheurs-collecteurs, le temps passé et la difficulté à acquérir la nourriture nécessaire au groupe sont très variables. Je crois vous avoir déjà mentionné les Yanomami de la frontière vénézuelo-brésilienne qui travaillent 3 heures par jour au maximum, vivant dans le milieu opulent de la forêt primaire, ou du moins ce qu’il en reste aujourd’hui, s’il en reste.

Au Paléolithique supérieur, pendant les dernières grandes phases glaciaires en Europe, les choses devaient être très différentes. Les groupes contraints à un nomadisme permanent pour suivre leur gibier, avec pour conséquence une nécessaire gestion au plus près de la taille du groupe, ne devaient pas rigoler tout les jours.

L’agriculture et l’élevage, la production de nourriture, est incontestablement un progrès face aux incertitudes des chasseurs-collecteurs : c’est la maîtrise des ressources !
Bon, il ne faut quand même pas se faire d’illusion. Tout d’abord, cette maîtrise n’est que partielle, rappelez vous de vos cours d’histoire et des grandes famines occasionnées par de médiocre récoltes consécutives à la moindre péjoration climatique.
Ensuite, gardez à l’esprit que les néolithiques ont inventé le travail entre guillemets car l’agriculture comme l’élevage nécessitent un nombre d’heures de travail particulièrement élevé.
Ce curieux choix a sans doute été fait pour s’assurer une relative sécurité.

Alors, concernant tout d’abord l’agriculture des céréales.

Au départ les grains ont tous la même structure :
Une écorce (le son) riche en cellulose, une amande riche en amidon (des glucides) et un germe riche en lipides et en vitamines. Ces grains contiennent aussi des protéines (8 à 12 % en moyenne), des vitamines du groupe B et des fibres.

Les principales céréales :

L’orge tout d’abord qui était sans doute l’une des plus importantes céréales au Néolithique.

Les blés, qui forment un groupe botanique complexe

Il existe plusieurs variétés de blés sauvages qui participent à une généalogie complexe qui va donner les différents types de céréales domestiques.
Evidemment c’est très compliqué et plein de nom latin, et comme je suis gentil, je vous en fais grâce.

Retenez les principaux types :

Pour les blés :

- L’engrain

- Les Triticum aestivum comprenant blé tendre, blé compact et épeautre.

- Les Triticum turgidum comprenant amidonnier, blé poulard et blé dur

Et l’orge bien sur à ne pas oublier mais aussi le sorgho et le millet par exemple en Afrique.

Enfin pour cette présentation végétale, n’oublions pas que la domestication des plantes à l’époque néolithique ne va pas concerner que des céréales, mais aussi des légumineuses comme pour les régions qui nous intéressent : le pois, la lentille et l’ers, mais aussi dans d’autres régions du monde les haricots ou encore les arachides…

Nous allons maintenant voir ce que l’on sait de la domestication des plantes au Proche Orient et de la diffusion de l’agriculture vers l’Europe.

Commençons par les prémices :

Au proche orient dès le natoufien, donc avant le Néolithique, apparaissent avec l’amélioration climatique des champs de céréales spontanées qui vont être exploités, par simple ramassage, il ne s’agit pas encore d’agriculture par les hommes préhistoriques.

On ne sait pas réellement quand commencent les premières expériences d’agriculture.
On sait maintenant que les premiers temps de l’agriculture resteront invisibles aux yeux des archéologues en raison de la durée nécessaire à l’apparition des caractères domestiques sur les morphologies des graines.

Que sait-on sur ces débuts de l’agriculture ?

L’étude des sites de la fin du Pléistocène montre qu’effectivement, la cueillette est devenue une activité très importante dans une très large région s’étendant de l’Irak à la Grèce dès 12500 avant lorsque les conditions environnementale l’ont permis.

Comme je vous l’ai dit en introduction, les céréales offrent des ressources alimentaires particulièrement intéressantes. Mais c’est aussi le cas des légumineuses riches en protéines. Elles le sont encore plus lorsque on considère la facilité de la récolte des graines de céréales et leur rendement entre guillemets. Ainsi diverses expériences montrent qu’une récolte de 2 semaines par 1 seule personnes permet de nourrir une famille de 4 personnes pendant 1 an.

La domestication n’était alors sans doute qu’une question de temps…

L’agriculture apparaît sans doute réellement dans la période entre 9500 et 8000 avant notre ère mais elle n’est pas encore réellement prouvée.

Un des éléments qui pourrait indiquer l’existence d’une réelle agriculture dès cette période de 9500-8000 est la présence de ce qu’on appelle des plantes adventices, ou adventices qui sont ni plus ni moins que des mauvaises herbes qui s’installent dans les terres meubles des champs de culture.

Ce n’est que vers 8000 qu’apparaissent les céréales morphologiquement domestiques.
Mais lorsqu’elles apparaissent elles sont déjà partout : au Levant, en Anatolie, dans le nord de l’Irak et l’ouest de l’Iran.
Dans le millénaire suivant, on observe la diffusion des espèces en dehors de leur milieu originel comme celle des blés (amidonnier, blé nu et orge à 6 rangs) vers le moyen Euphrate et la Jordanie.

A partir de ce moment l’agriculture s’intensifie à grande échelle tandis que la cueillette des espèces sauvages s’amenuise et les morphologies domestiques se répandent largement.

Voyons très rapidement l’introduction de l’agriculture en Europe.

Vous vous rappelez que le Néolithique arrive tout constitué en Europe. Il s’agit d’un pack dans la poche des colons néolithiques.
L’agriculture fait partie de ce pack et, je le répète une nouvelle fois, aucun indice d’agriculture antérieure à l’arrivée des colons n’a pu être observé en Europe.

Ces colons néolithiques vont donc apporter avec eux, leurs graines à semer dans de nouveaux champs.

Pourtant on va constater très vite des différences dans les différentes grandes régions d’Europe, en particulier entre les deux grands courants méditerranéen et danubien qui vont développer chacun leur propre agriculture.
On va observer une grande différence entre la sphère rubanée avec de l’amidonnier seulement et la sphère cardiale avec le Blé tendre exclusif ou très majoritaire.

Evidemment l’agriculture néolithique en Europe ne se limite pas à ces variétés de blés. Dans le Midi de la France, les Triticum dicoccum et monococcum sont aussi présents ainsi que l’orge (hordeum vulgare), mais aussi des légumineuses comme les pois, les gesses chiches.
En contexte danubien, de même, les trois types de blés sont connus ainsi que deux types d’orge, mais aussi les poids, les lentilles et le millet commun.
Au néolithique moyen, on retrouve les mêmes taxons mais avec quelques changements. Ainsi, le blé compact se répand dans la moitié septentrionale de la France, alors que l’amidonnier fait une percée dans le Midi et l’Epeautre semble apparaître mais pourrait être considéré comme une plante adventice.
La fève apparaît dans le Midi en contexte chasséen.

Les blés tendres et l’épeautre semblent se répandre dans toute l’Europe.

Au Néolithique final, le lin, le pavot et l’avoine apparaissent dans les diverses cultures en France.

Dans l’ensemble, il n’y a donc pas de très grands changements, mais l’ajout de nouvelles plantes.

Attention, la cueillette que je ne développerai pas ici, demeure très importante pendant toute cette période. Elle ne concerne pas des céréales sauvages, bien sûr, mais toutes sortes de choses des glands jusqu’aux fraises.

Voilà pour ce qu’on sait des plantes domestiquées et cultivées pendant le Néolithique. Je ne développe pas ici faute de temps, les pratiques agricoles elles mêmes.

Concernant maintenant l’économie animale et l’élevage :

Tout d’abord, il faut que vous sachiez ce qu’est l’élevage et le caractère domestique d’un animal qu’il faut bien distinguer d’une part du commensalisme c'est-à-dire du rapprochement volontaire de deux animaux vivant ensemble mais pas au détriment l’un de l’autre : ce qui est probablement à l’origine du rapprochement de l’homme et du loup puis de l’apparition du chien domestique.
Et d’autre part l’apprivoisement qui se rapporte à des caractéristiques comportementales acquises au niveau individuel. Caractère donc non transmissibles et n’entraînant pas une modification de l’espèce.

La domestication : appropriation et le contrôle d’une population animale par une société humaine, pour la production d’un service ou d’une matière 1ère.

La domestication va avoir de notables incidences sur les animaux et sur leur espèce :

Il s’agit de modifications génétiques au niveau du nombre de paires de chromosomes.
Il s’agit aussi de modifications comportementales.
Il s’agit encore de modifications fonctionnelles qui vont dans le même sens de l’adaptation aux besoins de l’éleveur, comme l’augmentation de la taille et du poids (actuellement après des millénaires de sélections), le changement du nombre de petits par naissance et la périodicité de la reproduction.

Il s’agit enfin d’autres modifications anatomiques, mais non recherchées par l’homme

Venons en maintenant à l’histoire de la domestication animale.

Par ordre d’apparition à l’écran, on l’a déjà vu, c’est le chien qui est le premier animal domestique, dès le tardiglaciaire. C’est l’animal domestique des chasseurs-collecteurs. Cette domestication est attestée au Proche Orient et en Europe dès le Paléolithique Supérieur entre 18000 et 12000 avant notre ère. Mais il est probable que des domestications similaires aient eu lieu aussi bien en Asie qu’en Amérique du nord et c’est aussi à cette période que le Dingo est introduit en Australie.
L’usage de ces chiens demeure difficile à préciser : on parle évidemment de chiens de chasse, mais aussi d’alerte et de protection. Et ce qu’on connaît des peuples de chasseurs-collecteurs actuels nous enseigne qu’il pouvait aussi s’agir de chiens de chauffage (la chaleur animale), de traction, de portage et même sans doute déjà de compagnie (rappelez vous les sépultures de chiens ou associant hommes et chiens).
Puis au Néolithique, le chien deviendra le compagnon du berger…

Ce qui est important pour nous ici, c’est que la domestication du chien n’a pas entraîné d’autres domestications animales pour toutes ces populations de chasseurs-collecteurs du Paléolithique.

Il faut attendre la période néolithique pour que les domestications apparaissent réellement pour d’autres espèces, généralement avec un petit temps de retard sur le développement de l’agriculture.

Tout d’abord, évidemment à l’échelle de planète, et comme c’était le cas pour les espèces végétales, la domestication des animaux dépend selon les régions des espèces présentes localement à l’état sauvage. Il en résulte une grande diversité d’espèces domestiquées.

Evidemment, c’est le Proche Orient qui constitue l’un des foyers très précoces et très prolifiques en matière de domestication.
Ainsi au Proche Orient, 4 espèces sont domestiquées dès 8500 avant notre ère : la chèvre, le mouton, le bœuf et le porc, sensiblement au même moment. Puis le chat sera domestiqué – si on peut domestiquer un chat (comme le dit J.-D. Vigne) – entre 7500 et 7000 toujours au Proche Orient.

Je ne détaille pas les différentes domestications dans les différents secteurs.

Les plus anciens indices d’élevage remontent donc au milieu du IXe millénaire et concernent une région réduite sur les versants méridionaux du Taurus oriental, région où les formes sauvages des espèces domestiquées étaient présentes.

Il s’agit de :

- L’Aurochs (Bos primigenius) qui donnera le bœuf.

- La chèvre aegagre (Capra aegagrus) qui donnera la chèvre.

- Le mouflon oriental (Ovis orientalis) qui donnera le mouton.

- Le sanglier (Sus scrofa) qui donnera le porc.

Vers 8200-8000, ces animaux sont transférés vers le sud et vers l’ouest où ils n’ont pas d’ancêtres sauvages.

Puis peu à peu cette diffusion affecte l’ensemble du Proche Orient.

Concernant l’Europe, l’histoire est courte.
Encore une fois aucun indice probant de domestication sur place en Europe ne peut être retenu et les animaux domestiques semblent bien gagner l’Europe avec les colons néolithiques et se répandre à travers le continent au rythme de la croissance néolithique et dans certains cas des échanges avec les populations locales.

Je ne détaillerai pas ici les techniques d’élevage et nous allons terminer en évoquant les productions recherchées par les éleveurs :
Chose très importante pour les archéologues, on va abattre les bêtes à des âges différents en fonction du service qu’on attend d’elles.

Ce n’est pas ici un cours d’archéozoologie donc je vous dispense de la détermination des âges au décès. Reste que cet âge se détermine principalement par l’examen des dents. On peut donc restituer des profils d’abattage des troupeaux par les néolithiques.

A partir de ceux-ci et de comparaisons ethnologiques, on détermine la composition du troupeau en matière de productions recherchées.

On peut donc étudier les productions recherchées par les éleveurs qui ne se contentent pas de gérer leur troupeau pour obtenir de la viande, mais aussi bien évidemment pour maintenir ou même faire croître le troupeau et pour d’autres productions qui ont pu être mises en évidence comme celle du lait ou celle des peaux et des toisons.
Je ne développe pas mais c’est très intéressant.

Deux points  pour finir:

Tout d’abord comme j’ai évoqué la cueillette encore très importante chez les agriculteurs, pensez que la part de la chasse n’est pas forcément négligeable chez les éleveurs.

Si la chasse n’a plus la place prépondérante qu’elle occupait chez les chasseurs-collecteurs comme leur nom l’indique, elle reste importante aussi bien dans les premiers temps de l’élevage que pour certains groupes.

Par ailleurs celle-ci trouve une place complémentaire à l’élevage :

- Pour l’acquisition de certaines matières premières : les bois, les peaux et la fourrure.

- Sans doute pour protéger les champs et les élevages de certains prédateurs.

- Un aspect symbolique vis-à-vis du sauvage, de certains animaux… Aurochs, ours, cerfs…

Dans tous les cas les motivations sont sans doute en grande partie non alimentaires.

Enfin, la place de l’animal dans le symbolisme du Néolithique est tout à fait particulière, s’il est vrai que la représentation animale était importante au Paléo dans les grottes ornées, sous une forme naturaliste et que les représentations humaines vont se développer avec le Néolithique, les représentations animales semblent elles aussi évoluer sans que l’on puisse toujours comprendre ce que cela traduit.

Le cas est patent pour le site de Çatal Höyük en Anatolie que nous avons déjà vu avec ces sanctuaires décorés de bucranes.

Et cela se poursuivra dans le temps dans différentes sociétés d’éleveurs comme ici l’un des cas les plus célèbres avec la nécropole de la culture ou du royaume de Kerma au soudan aux IIIe et IIe millénaire.

Mais nous ne sommes plus ici dans le domaine de l’économie.
La semaine prochaine nous parlerons des échanges.

Bibliographie :

Sur la domestication végétale et l’agriculture :

Voir particulièrement :

GUILAINE J. (Dir.) (2000) - Premiers paysans du monde, Naissance des agricultures, Séminaires du Collèges de France, Paris : Errance, 2000, 320 p.

Et :

MAZOYER M., ROUDART L. (1997) – Histoire des agricultures du monde, Paris : Seuil, 1997, 545 p.

THORPE I.J. (1996) – The origins of agriculture in Europe, Londres / New York : Routledge, 1996, 224 p.

ANDERSON P. (2000) – La tracéologie comme révélateur des débuts de l’agriculture, in : GUILAINE J. (Dir.) : Premiers paysans du monde, Naissance des agricultures, Séminaires du Collèges de France, Paris : Errance, 2000, p. 99-119.

WILCOX G. (2000) – Nouvelles données sur la domestication des plantes au Proche Orient, in : GUILAINE J. (Dir.) : Premiers paysans du monde, Naissance des agricultures, Séminaires du Collèges de France, Paris : Errance, 2000, p. 123-139.

ANDERSON P. (Dir.) (1992) – Préhistoire de l’agriculture. Nouvelles approches expérimentales et ethnographiques, Paris : Editions du CNRS, 1992, 403 p. (Monographie du CRA, n°6).

ANDERSON P.C., CUMMING L.S., SCHIPPERS T.K., SIMONEL B. (2003) – Le traitement des récoltes. Un regard sur la diversité du Néolithique au Présent. Actes des XXIIIe Rencontres Internationales d’Archéologie et d’Histoire d’Antibes, Antibes : Editions APDCA, 2003, 521 p.

 

Sur la domestication animale et l’élevage :

VIGNE J.-D. (2004) – Les débuts de l’élevage, Paris : Editions le Pommier, 2004, 191 p. (Le Collège de la Cité).

Et :

BROCHIER J.E. (2005) – Des hommes et des bêtes : une approche naturaliste de l’histoire et des pratiques d’élevage, in : GUILAINE J. (Dir.) : Populations néolithiques et environnements. Séminaires du Collège de France, Paris : Errance, 2005, p. 137-152.

GAUTIER A. (1990) – La domestication. Et l’Homme créa l’animal, Paris : Errance, 1990.
 
HELMER D. (1992) – La domestication des animaux par les hommes préhistoriques, Paris : Masson, 1992, 184 p. (Collection Préhistoire)

VIGNE J.-D. (2000) – Les débuts néolithiques de l’élevage des ongulés au Proche Orient et en Méditerranée : acquis récents et perspectives, in : GUILAINE J. (Dir.) : Premiers paysans du monde, Naissance des agricultures, Séminaires du Collèges de France, Paris : Errance, 2000, p. 143-168.

VIGNE J.-D. (2005) – Maîtrise et usages de l’élevage et des animaux domestiques au Néolithique : quelques illustrations au Proche-Orient et en Europe, in : GUILAINE J. (Dir.) : Populations néolithiques et environnements. Séminaires du Collège de France, Paris : Errance, 2005, p. 87-115.

Liens sur internet

http://www.archeozoo.org/
Site collaboratif d’archéozoologie

http://blaise.archeozoo.free.fr/blaise-index.htm
Site perso d’archéozoologie néolithique

 

 

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