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Mémoire de MAster

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Les méthodes - le mémoire de Master

Conseils pour l'élaboration du mémoire et recommandations de présentation - suite
 

 

4.3 Références bibliographiques

 

Les “ Références bibliographiques ” se distinguent de la “ bibliographie ” en ce qu’elles ne comportent que les références effectivement utilisées et citées dans le mémoire.

Le mémoire de Master 1 peut comporter des « références bibliographiques » effectivement utilisées dans le texte et une « bibliographie » présentant la documentation disponible pour la recherche sur le sujet du mémoire, dans le cadre de la poursuite du travail en Master 2.

4.3.1 Présentation des références bibliographiques (et de la bibliographie)

La présentation des références bibliographiques doit être normalisée et contenir les informations essentielles permettant d’accéder au document cité.

Des normes précises et complètes adaptées à la gestion d’importants fonds bibliographiques existent.

Dans la spécialité Préhistoire et Protohistoire, nous avons choisi d’utiliser la norme bibliographique du Bulletin de la Société Préhistorique Française, qui est à la fois simple et aisément consultable par les étudiants. Cette norme générale est complétée de nombreuses indications éditoriales très utiles réunies par N. Coye.

C’est donc cette norme qui doit être utilisée pour la présentation des mémoires de Master 1 sauf avis contraire et motivé de votre directeur ou de votre tuteur scientifique.

La forme de présentation de la référence bibliographique dépend du type de publication considéré. Vous trouverez ci-dessous des exemples des cas les plus fréquents.

Ouvrage :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom. (Année) – Titre de l’ouvrage, ville de publication, éditeur, Collection, numéro, nombre de pages, éventuellement nombres de figures.

BARGE H. (1982) – Les parures du Néolithique ancien au début de l’Age des métaux en Languedoc, Paris, Editions du CNRS, 396 p.

Ouvrage collectif cité en intégralité :

NOM DU DIRECTEUR DE PUBLICATION Initiale du Prénom. dir. (Année) – Titre de l’ouvrage, ville de publication, éditeur, Collection, numéro, nombre de pages p., éventuellement nombres de figures.

MOHEN J.-P. dir. (1989) – Le temps de la préhistoire, t. 1, Paris, Société préhistorique française, Dijon, Archeologia, 520 p.

Article dans un ouvrage collectif :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom. (Année) – Titre de l’article, in Initiale du Prénom. Nom du directeur de la publication dir., Titre de l’ouvrage, ville de publication, éditeur, p. numéros des pages limites de l’article.

BEECHING A. (1986) – Le Néolithique rhodanien, acquis récents et perspectives de la recherche, in J.-P. Demoule, J. Guilaine dir., Le Néolithique de la France, Hommage à G. Bailloud, Paris, Picard, p. 259-276.

Congrès publié en volume séparé et cité intégralement :

NOM DU DIRECTEUR DE PUBLICATION Initiale du Prénom. dir. (Année) – Titre du congrès, ville de tenue, année de tenue, ville de publication, éditeur, Collection, numéro, nombre de pages p., éventuellement nombres de figures.

VORUZ J.-L. dir. (1995) – Chronologies néolithiques, de 6000 à 2000 avant notre ère dans le bassin rhodanien, Actes du colloque d’Ambérieu-en-Bugey, 1992, Ambérieu-en-Bugey, Société préhistorique rhodanienne, Documents du Département d’Anthropologie de l’Université de Genève, 20, 421 p.

N.B. : c’est l’année de publication et non l’année de tenue du congrès qui est indiquée après le nom de l’auteur et qui sera utilisée dans l’appel bibliographique à insérer dans le texte. Ce procédé s’applique quel que soit le support de publication du congrès (ouvrage ou revue, cf. infra)

Article dans un congrès publié en volume séparé :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom. (Année) – Titre de l’article, in Initiale du Prénom, Nom du directeur de la publication dir., Titre du congrès, ville de tenue, année de tenue, ville de publication, éditeur, Collection, numéro, p. pages limites de l’article.

D’ANNA A. (1995) – Le Néolithique final en Provence, in J.-L. Voruz dir., Chronologies néolithiques, de 6000 à 2000 avant notre ère dans le bassin rhodanien, Actes du colloque d’Ambérieu-en-Bugey, 1992, Ambérieu-en-Bugey, Société préhistorique rhodanienne, Documents du Département d’Anthropologie de l’Université de Genève, 20, p. 265-286.

Congrès publié dans une revue et cité intégralement :

NOM DU DIRECTEUR DE PUBLICATION Initiale du Prénom. dir. (Année) – Titre du congrès, ville de tenue, année de tenue, Nom de la revue, tome ou numéro, pages limites de l’ensemble des articles du congrès.

COMMELIN D., DUPUY C., RIMBAULT M. dir. (1996) – Les fleuves refuges africains, hommes et climats à l’Holocène, table ronde d’Aix-en-Provence, 1995, Préhistoire, Anthropologie Méditerranéennes, t. 5, p. 101-231.

Article dans un congrès publié dans une revue :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom. (Année) – Titre de l’article, in Initiale du Prénom, Nom du directeur de la publication dir., Titre du congrès, ville de tenue, année de tenue, Nom de la revue, tome ou numéro, p. pages limites de l’article.

RIMBAULT M. (1996) – L’impact de la dégradation climatique holocène sur les Néolithiques du Sahara malien et les données du faciès sahélien de Kobadi, in : D. Commelin, C. Dupuy, M. Rimbault dir., Les fleuves refuges africains, hommes et climats à l’Holocène, table ronde d’Aix-en-Provence, 1995, Préhistoire, Anthropologie Méditerranéennes, t. 5, p. 135-146.


Article dans une revue :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom (Année) – Titre de l’article, Nom de la revue, tome ou numéro, p. pages limites de l’article.

LEMERCIER O. (2004) – Explorations, implantations et diffusions. Le "phénomène" Campaniforme en France méditerranéenne, Bulletin de la Société Préhistorique Française, t. 101, n°2, p. 227-238.


WIRTH S. (2001) – Die Saône lüftet ihr Geheimnis - Flußfunde im Herzen Europas, Antike Welt. Zeitschrift für Archäologie und Kulturgeschichte, 32, p. 299-303.

Mémoire universitaire

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom. (Année) – Titre du mémoire, Mémoire de Maîtrise, ou DEA, ou Thèse de Doctorat…, Université, Ville de soutenance (le cas échéant), nombre de volumes, nombre de pages p., éventuellement nombres de figures.

FURESTIER R. (1999) – L’industrie lithique campaniforme dans le Sud-Est de la France : Première approche, Mémoire de DEA, Université de Provence, Aix-en-Provence, 88 p., 24 pl., 4 annexes.


LEMERCIER O. (2002) – Le Campaniforme dans le sud-est de la France. De l’Archéologie à l’Histoire du troisième millénaire avant notre ère, Thèse de Doctorat, Université de Provence, Aix-en-Provence, 4 vol., 1451 p.

4.3.2 Normes complémentaires

Ces quelques règles simples sont ci-dessous complétées par un ensemble de normes permettant de prendre en compte certaines caractéristiques que les références bibliographiques présentent fréquemment.

Auteur dont le nom contient une particule :

Les auteurs dont le nom contient une particule sont soumis à un régime particulier selon leur nationalité et la nature de cette particule. Celle-ci peut être conservée avant le nom ou rejetée à la suite du prénom (Tableau 2).

Langues

Particules rejetées

Particules maintenues

Français

De, de, d’

La, Le, L’, Du, Des

Allemand

Von, von, der, zu

Vom, Zum, Zur, Am, Im

Néerlandais, Belge

 

Van, Van den, Van der, T, Ten, De, Den

Italien

 

De, Da, Di, D’, Del, Della, Lo

Espagnol,
Sud-Américain (sauf Brésilien)

De, de las, de les, de los, del, la, las, los

 

Portugais, Brésilien

De, da, do, das, dos

 

Anglo-américain

 

De, Mac, O’

Langues scandinaves

Af, av, von

De

Tableau 2 - Maintien ou rejet des particules des noms propres.

 

Exemples :

BAYLE DES HERMENS R. de, LÉON-LEURQUIN J., PATOU M., SOUVILLE G., (1984) – La grotte de Toulkine (Haut Altlas marocain) et le Toulkinien, L’Anthropologie, t. 88, p. 413-439.


BEHRENS P. von, (1984-85) – Wanderungsbewegungen und Sprache der frühen saharanischen Viehzüchter, in Sugia, Sprache und Geschichte in Afrika, t. 6, Köln, Bayreuth, Universität, p. 135-126.


DU CLEUZIOU H., (1887) – La Création et les premiers âges de l'humanité, Paris, C. Marpon & E. Flammarion, Bibliothèque scientifique populaire publiée sous la direction de C. Flammarion, 840 p., 350 fig., 5 pl. h.-t., 2 cartes.


L’HELGOUACH J., LE ROUX C.-T., LECORNEC J. dir. (1997) – Art et symboles du mégalithisme européen, in Actes du 2e colloque international sur l’art mégalithique, Nantes, 1995, Rennes, Pôle éditorial archéologique de l’Ouest, Supplément à la Revue archéologique de l’Ouest, 8, 248 p.


VAN WILLIGEN S., (1992-95) – Quelques remarques au sujet de la place de l’Epicardial au sein du Néolithique ancien méditerranéen, Travaux de préhistoire catalane, t. 8, p. 21-30.

Référence à plusieurs auteurs :

Lorsqu’une référence est l’œuvre de plusieurs auteurs, ceux-ci sont mentionnés en tête de référence dans l’ordre où ils ont signé l’article, l’ouvrage… quel que soit cet ordre :

D’ANNA A., LAZARD-DHOLLANDE N., LEMERCIER O. (1997) – Une stèle anthropomorphe néolithique trouvée près de Cavaillon (Vaucluse) acquise par le Musée des Antiquités Nationales, Antiquités Nationales, 29, p. 21-26.


LEMERCIER O., BLAISE E., CAULIEZ J., FURESTIER R., GILABERT C., LAZARD N., PINET L., PROVENZANO N. (2004) – La fin des temps néolithiques, in J BUISSON-CATIL J. et al. dir., Vaucluse Préhistorique, Avignon : Editions A. Barthélémy, p. 195-246.

Ouvrage en plusieurs tomes :

Lorsqu’un ouvrage comporte plusieurs tomes et selon que l’on veut citer un tome en particulier ou la totalité des tomes, des indications complémentaires viennent s’adjoindre aux normes générales de présentation des ouvrages.

Si tous les tomes sont cités, on mentionne après l’éditeur le nombre de tomes ainsi que le nombre de pages et d’illustrations de chacun d’entre eux :

TREINEN F. (1970) – Les poteries campaniformes en France, Gallia Préhistoire, Tome XIII, fasc.1 p. 53-107, fasc.2, p. 263-332.

Si un tome particulier est cité, la tomaison est indiquée après le titre et on mentionne le nombre de pages du seul tome concerné :

LAFITAU J.-F., (1983) – Mœurs des sauvages américains comparées aux mœurs des premiers temps, t. 1, Paris, Maspéro, La découverte, 61, 287 p., 2 fig.

Ouvrage à pagination discontinue :

De nombreux ouvrages présentent une pagination discontinue ordonnant un premier ensemble de pages numérotées en chiffres romains et le corps du texte numéroté en chiffres arabes. Ce procédé, courant au siècle dernier et au début de notre siècle, s’est maintenu dans les pays anglo-saxons.

L’indication du nombre de pages fera apparaître cette double pagination en ordonnant chiffres romains (en minuscules ou en majuscules selon la graphie adoptée dans l’ouvrage) et chiffres arabes reliés par un trait d’union.

WALDREN W.H., KENNARD R.C. dir. (1987) – Bell Beakers of the Western Mediterranean. Definition, interpretation, theory and new site data, The Oxford International Conférence, 1986, Oxford, British Archaeological Report, International Series, 331, 2 vol., vi-710 p.


MOORE A.M.T., HILLMAN G.C., LEGGE A.J. dir. (2000) – Village on the Euphrates, from foraging to farming at Abu Hureyra, Oxford, Oxford University Press, xvii-585 p.

Revue à tomaison discontinue :

Certaines revues présentent une tomaison organisée en séries et possèdent de ce fait autant de tomes 1, 2, etc. que de séries. Ce procédé a été très fréquemment utilisé au siècle dernier et tout travail historiographique comme tout recensement de données archéologiques anciennes a l’occasion d’être confronté à cette particularité. De plus, certaines revues — fondées anciennement — ont conservé de nos jours cette pratique.

Bien que l’indication de l’année suffise à lever toute ambiguïté, il peut être utile de préciser avant la tomaison l’indication de la série à laquelle celle-ci se rapporte.

CHEYLAN M., CONGES G. (1984) – La grotte de la Citadelle (Vauvenargues, Bouches-du-Rhône) un ossuaire Chalcolithique-Bronze ancien, Cahiers Ligures de Préhistoire et de Protohistoire, Nouvelle Série, 1, p. 125-136.

Indications bibliographiques diverses :

Il est parfois important de mentionner certaines indications complétant le titre sans en faire partie, comme dans le cas de mention d’édition, de textes recueillis ou plus fréquemment dans le cas d’ouvrages traduits. Ces indications suivent directement le titre mais n’apparaissent pas en italique.

CANGUILHEM G. (1989) – Études d’histoire et de philosophie des sciences, 5e Ed. augmentée, Paris, Librairie philosophique Vrin, Problèmes et controverses, 414 p.


CHALMERS A.-F. (1987) – Qu’est-ce que la science ? Récents développements en philosophie des sciences ; Popper, Kuhn, Lakatos, Feyerabend, traduit de l’anglais par M. Biezunski, Paris, La Découverte, Sciences et société, 238 p.


LAFITAU J.-F. (1983) – Mœurs des sauvages américains comparées aux mœurs des premiers temps, choix de textes et notes par E.-H. Lemay, Paris, Maspéro, La découverte, 61 et 62, 2 t., 287 p., 2 fig. ; 185 p.

Lacunes :

Il arrive que certaines indications manquent pour la rédaction d’une référence bibliographique : qu’un article soit anonyme, que l’éditeur, l’année ou le lieu d’édition d’un ouvrage ne soient pas indiqués. Ces indications manquantes sont alors remplacées dans la référence par les mentions suivantes apparaissant en italique :

                   s. n.       sine nomine    Nom de l’auteur ou de l’éditeur
                   s. l.         sine loco          Lieu d’édition
                   s. d.       sine data         Année d’édition

s. n. (1908) – Vente de la collection Fourdrignier, Revue préhistorique, t. 3, p. 30


BERTHOUD S.-H. (s. d.) – L’homme depuis cinq mille ans, Paris, Garnier Frères, 574 p.


BREUIL H. (1923) – Les primitifs actuels et préhistoriques, Conférence à l'Association française pour l'avancement des sciences, 12 mars 1923, s. l., s. n., 11 p.


GALTIER C., ROUQUETTE J.-M. (1977) – La Provence et Frédéric Mistral au Museon arlaten, s. l., J. Cuénot, 112 p., ill.

N.B. : Les références dont l’auteur est anonyme seront classées en début ou en fin de la liste des références (et non à la lettre S). Il est bien évident que les mentions indiquant les lacunes sont à utiliser dans le cas de renseignements réellement manquants et non pour masquer un défaut de documentation.

4.3.3 Classement des références

Les références seront classées par ordre alphabétique d’auteur et, pour chaque auteur, par ordre chronologique de parution.

BILL J. (1973) – Die Glockenbecherkultur und die frühe Bronzezeit im französischen Rhonebecken und ihre Beziehungen zur Südwestschweiz, Verlag Schweizerische Gesellschaft für Ur-und Frrühgeschichte, Basel, 111 p., 15 cartes, 63 pl.


CAMPS-FABRER H., D’ANNA A. (1989) – Enceintes et structures d’habitat du Néolithique final, Miouvin 3 (Istres, Bouches-du-Rhône) in A. D’Anna,  X. Gutherz dir., Enceintes, Habitats ceinturés, sites perchés, du néolithique au bronze ancien dans le sud de la France et les régions voisines, Actes de la table ronde de Lattes et Aix-en-Provence, 1987, Montpellier, Mémoire de la Société Languedocienne de Préhistoire n°2, p. 195-208.


COURTIN J. (1974) – Le Néolithique de la Provence, Paris, Klincksieck, 1974, Mémoire de la Société Préhistorique Française, 11  355 p.


DURRENMATH G., LUZI C. (2001) – Martigues – La Couronne Collet-Redon, Bilan Scientifique de la Région PACA, 2000, Aix-en-Provence, DRAC, Ministère de la Culture, p. 121-122.


FLANNERY K.V. (1982) – The Golden Marshalltown : A parable for the Archaeology of the 1980s, American Anthropologist, Vol. 84, N° 2, p. 265-278.


GALLAY A. (1986) – Autonomie du Campaniforme rhodano-rhénan : la question de la céramique domestique, in J.-P.Demoule, J. Guilaine dir., Le Néolithique de la France, Hommage à G. Bailloud, Paris, Picard, p. 431-446.

Lorsque plusieurs références d’un même auteur existent pour une même année, les références seront individualisées par une lettre minuscule ajoutée après l’année et classées d’après l’ordre alphabétique des principaux mots du titre. Cette lettre est mentionnée dans l’appel de la référence dans le texte.

COURTIN J. (1962a) – Les dolmens à couloir de Provence orientale, L’Anthropologie, LXVI, 3-4, p. 269-278.


COURTIN J. (1962b) – La sépulture chalcolithique du Perpétairi à Mollans (Drôme), Gallia-Préhistoire, IV, p. 192-205.


COURTIN J. (1962c) – Recherches sur la préhistoire de Haute-Provence : La Grotte Muée de Montpezat (Basses-Alpes), Cahiers Ligures de Préhistoire et d’Archéologie, 11, fasc. II, p. 248-256.

Pour classer des références dues à un auteur et à ce même auteur associé à d’autres. Nous proposons de classer en premier lieu les références relevant de ce seul auteur avant de classer (toujours par ordre alphabétique puis chronologique) les références que celui-ci a produite en collaboration avec d’autres auteurs

COURTIN J. (1975) – Un habitat fortifié du Bronze ancien en Basse-Provence : Le Camp de Laure, Bulletin du Museum d’Histoire Naturelle de Marseille, t. XXXV, p. 218-240.


COURTIN J. (1976) – Les civilisations de l’Age du Bronze en Provence, Le Bronze ancien et le Bronze moyen en Provence, in J. Guilaine dir., La Préhistoire Française, tome II : Les civilisations néolithiques et protohistoriques de la France, Paris, CNRS, 912 p.,  p. 445-451.


COURTIN J., D’ANNA A. (1984) – L’habitat perché de la Barre du Pommier à Saint-Savournin (Bouches-du-Rhône), Bulletin Archéologique de Provence, 14, p. 3-7.


COURTIN J., ERROUX J. (1974) – Aperçu sur l’agriculture préhistorique dans le sud-est de la France, Bulletin de la Société Préhistorique Française, Tome 71, p. 321-334.


COURTIN J., ONORATINI G. (1977) – L’habitat campaniforme du "Fortin du Saut " Châteauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône), Congrès Préhistorique de France, XXe session Provence, Martigues, 1974, Paris, Société Préhistorique Française,  p. 109-121.

4.3.4 Appel des références dans le texte

Dans le texte, les références bibliographiques seront appelées sous la forme : (Auteur, année, p. numéro de la page)

La page sera indiquée si l’appel fait référence à une citation ou un passage précis.
Le nom de l’auteur est indiqué en minuscule.

Par exemple : (Courtin, 1975, p. 227) ou (Courtin et Erroux, 1974, p. 330-333)

N.B. : Le doublement du “ p. ” en “ pp. ” pour citer plusieurs pages est à proscrire.

Lorsqu’une référence comporte deux auteurs, elle sera appelée dans le texte sous la forme :
(Auteur 1 et Auteur 2, année, p. numéro de la / des page(s))

Par exemple (Courtin et Erroux, 1974, p. 330-333) pour citer un passage de :
COURTIN J., ERROUX J. (1974) – Aperçu sur l’agriculture préhistorique dans le sud-est de la France, Bulletin de la Société Préhistorique Française, Tome 71, p. 321-334.

Lorsqu’une référence comporte plus de deux auteurs, elle sera appelée dans le texte en faisant suivre le nom du premier auteur de la mention “ et al. ”, soit sous la forme :
(Auteur 1 et al. année, p. numéro de la / des page(s))

Par exemple (D’Anna et al, 1989) pour citer :
D’ANNA A., COURTIN J., COUTEL R., MÜLLER A. (1989) – Habitats perchés et enceintes du Néolithique final et Chalcolithique dans le Luberon central (Vaucluse), in A. D’Anna, X. Gutherz dir., Enceintes, Habitats ceinturés, sites perchés, du néolithique au bronze ancien dans le sud de la France et les régions voisines, Actes de la table ronde de Lattes et Aix en Provence, 1987, Montpellier, S.L.P. et ADAPACA, Mémoire de la Société Languedocienne de Préhistoire,2, p. 165-193.

4.3.5 Normes complémentaires

Auteur mentionné dans le texte :

Lorsque l’auteur d’une référence est mentionné dans le texte, il est possible de ne pas reprendre le nom de cet auteur dans l’appel de référence. Dans ce cas, l’appel doit toujours suivre le nom de l’auteur.

On pourra ainsi écrire :
Dans la publication de sa thèse de Doctorat, Jean Courtin (1974, p. 250) propose la première description de l’industrie lithique associée au Campaniforme.

au lieu de :
Dans la publication de sa thèse de Doctorat, Jean Courtin propose la première description de l’industrie lithique associée au Campaniforme (Courtin, 1974, p. 250).

Appel de plusieurs références bibliographiques :

Il peut arriver que l’on ait à appeler plusieurs références bibliographiques à la suite. Dans ce cas, elles seront réunies à l’intérieur d’une seule parenthèse et séparées par des points-virgules. On pourra choisir, en fonction de son propos, d’ordonner les appels suivant selon un ordre chronologique ou alphabétique.

Ce site fait ensuite l’objet de mentions dans plusieurs inventaire successifs (Treinen, 1970, p 132 ; Courtin, 1974, p. 257 ; Lemercier, 2002, p. 863), sans pour autant que la série soit décrite et représentée.

Références de documents internet (pages web…) :

Il est toujours préférable de remonter aux sources originales publiées, mais si celles-ci n’existent pas :

NOM DE L’AUTEUR Initiale du Prénom (s.d) – Titre de l’article, in : Nom du site, nom de la page, [en ligne]. Adresse internet complète (page consultée le date complète).

CARON R. (s.d.) – Comment citer un document électronique?, in Université Laval. Bibliothèque. Site de la Bibliothèque de l'Université Laval, [En ligne]. http://www.bibl.ulaval.ca/doelec/citedoce.html (Page consultée le 27 mars 2000).

 

 

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